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Ceci est La Version Alpha
Coming Soon... Qariban... Prochainement...
benchmark de ce qu'offrent les operateurs telecoms marocains... :)
Les offres de maroc telecom sont une honte en 2024 : déjà qu'il n'offrent aucun forfait au dessous de 59Dh (c'est dire à quel point il s'en foutent de la concurrence avec ses forfaits à 49Dh), deuxièmement : comment peut on proposer un forfait à 59Dh qui ne contient que 300 sms ? à l'ère où la concurrence intègre les sms en illimité à TOUT leurs forfaits, comment maroc telecom peuvent ils à ce point ne pas avoir froid aux yeux et ne proposer que 300 sms ? mais ce n'est pas le pire ! si vous voulez passer du forfait maroc telecom de 3Go/3H vers celui de 11Go/1h il ne vous donnent plus de sms du tout...
Concernant orange et inwi ils se talonnent : ils proposent le même forfait 2Go/1H (illimité Réseaux Sociaux) ou 11Go/1H (illimité Whatsapp) à 49Dh à la différence du forfait 5H/1Go contre celui de 4H/2Go de l'autre coté avec bien sûr les sms sans radinerie comme le fait la honteuse iam ! j'espére que ceci vous a servi à quelque chose, et à bientôt pour autre #Benchmark :)
Derrière nos écrans de fumée / The Social Dilemma film documentaire Full 1hr34min
Mi-drame, mi-documentaire, ce film montre l'impact humain néfaste des réseaux sociaux. Des experts en technologie tirent la sonnette d'alarme sur leurs propres créations.
Mettant en vedette : Skyler Gisondo, Kara Hayward, Vincent Kartheiser
Derrière nos écrans de fumée(The Social Dilemma) est undocudrameaméricain écrit et réalisé parJeff Orlowski. Sorti viaNetflixle 9 septembre 2020, le film explore la montée en puissance desmédias sociauxet les dommages qu'ils ont causés à la société, en se concentrant sur son exploitation de ses utilisateurs à des fins financières grâce aucapitalisme de surveillanceet àl'exploration de données, comment sa conception est censée nourrirune dépendance, son utilisation en politique, son impact sur lasanté mentale(y compris la santé mentale des adolescents et l'augmentation des taux de suicide chez les adolescents) et son rôle dans la diffusion desthéories du complotet l'aide à des groupes tels que lesflat-earthersetles suprémacistes blancs.
Le film présente des entretiens avec l'ancien éthicien du design de Google et co-fondateur du Center for Humane Technology Tristan Harris, son collègue co-fondateur du Center for Humane Technology Aza Raskin, le co-fondateur d'Asana et le co-créateur du bouton like deFacebook Justin Rosenstein, le professeur Shoshana Zuboff de l'université Harvard, l'ancien président de Pinterest Tim Kendall, le directeur de la recherche sur les politiques d'AI Now Rashida Richardson, le directeur de la recherche Yonder Renee DiResta, le directeur du programme de bourses de recherche en toxicomanie de l'université Stanford, Anna Lembke, et Jaron Lanier, l'un des pionniers de la réalité virtuelle. Les interviews sont coupées avec des dramatisations mettant en vedette les acteurs Skyler Gisondo, Kara Hayward et Vincent Kartheiser, qui racontent l'histoire de la dépendance d'un adolescent aux réseaux sociaux.
Derrière nos écrans de fumée a reçu une note de 7,7/10 sur IMDb et de 89 % sur Rotten Tomatoes. ABC News a considéré que le film est « un regard révélateur sur la façon dont les médias sociaux sont conçus pour créer une dépendance et manipuler notre comportement, raconté par certaines des personnes mêmes qui ont supervisé les systèmes dans des endroits comme Facebook, Google et Twitter » et l'ont dit « [vous donnera] immédiatement envie de jeter votre smartphone à la poubelle [...] puis de jeter la poubelle à travers la fenêtre d'un dirigeant de Facebook ». Variety estime que le film explique bien comment « ce qui est à risque n'est clairement pas seulement le profit, ou même les enfants mal socialisés, mais la confiance empathique qui lie les sociétés, ainsi que la solidité des institutions démocratiques [que] nous sommes. l'apprentissage peut être trop efficacement compromis par un régime régulier de mèmes qui déforment la perspective ». Selon IndieWire, le film est « l'analyse la plus lucide, succincte et profondément terrifiante des médias sociaux jamais créée ». Une revue du Financial Times indique que le film « détaille soigneusement les niveaux de dépression qui montent en flèche chez les enfants et les adolescents ; les terriens plats et les suprémacistes blancs ; le génocide au Myanmar ; la désinformation Covid ; [et] la mise en péril de la vérité objective et de la désintégration sociale ». Le New York Times a déclaré que le film mettait en vedette « des déserteurs consciencieux de sociétés telles que Facebook, Twitter et Instagram [qui] expliquent que la perniciosité des plateformes de réseaux sociaux est une fonctionnalité, pas un bug ». Une critique du Los Angeles Times a estimé que « si la plupart des gens savent qu'ils sont exploités pour obtenir des données sur ces sites, peu se rendent compte de la profondeur de l'enquête [...] si vous pensez que le compromis ne fait que prendre des publicités ciblées pour vos baskets préférées, vous êtes sous le choc ».
Dans la rubrique « Culture » de son site web, France Info relève le caractère efficace du dispositif scénaristique du documentaire (alternance d'entretiens et de séquences de fiction illustrant le propos des personnes interviewées). Selon le média en ligne, l'ensemble de l'œuvre est une mise à nu implacable de la volonté des concepteurs des médias sociaux d'influer sur nos comportements et de façonner nos esprits2. Le quotidien français Le Monde partage cette analyse. La responsabilité individuelle des internautes est aussi soulignée. La démonstration est cependant affaible par le fait d'imputer les dérèglements sociaux aux seuls réseaux sociaux et les motivations des anciens employés de géants du Web qui témoignent ne sont pas exemptes d'hypocrisie. De plus, le diffuseur, l'entreprise multinationale américaine Netflix, utilise aussi des algorithmes conçus pour nous rendre addicts à ses services
Ki ban likoum bhhal un documentaire de plus, walakine had le(s) documentaire(s) ki khla3 ! croyez moi, ma 3amarni tkhla3t autant about today's technology, bhhal kifma tkhla3t aprés que j'ai visionné hadchi...
Le documentaire "Google and the World Brain"... à ne rater sous aucun prétexte !
74 min
World Brain suit les pérégrinations d'un groupe de chercheurs qui tente de survivre dans la forêt avec Wikipédia. Au contraire des rêves de déconnexion, ils quittent tout, sauf la connexion. Ils utilisent la forêt comme une manière de se relier au réseau.… World Brain propose une excursion à travers différentes formes de folklore de l’internet comme un mythe : data centers, magnétisme animal, la vie intérieure des rats, la connexion des chatons et des pierres dans la Noosphère. Le film détourne les codes de la restitution documentaire ou de la fiction, pour osciller entre l'expérience onirique et la simulation. L'émergence d'un réseau numérique mondial fondé sur la réduction absolue du vivant en données pose la question du lien social et politique à venir. La socialité en réseau n’est-elle pas condamnée à la pulvérisation ? Dans un monde totalement numérisé, l’homme lui-même n’en est-il pas remis au statut d'hypothèse ? N'y a-t-il pas un paradoxe entre la nature fragmentaire des données et la politique du lien que prônent les adeptes de la connexion globale ? L’hypothèse qui se dessine dans le projet World Brain n’est ni le réseau, ni son expansion que l'on sait inévitable, mais l'humanité elle-même.
Subject: Anyone who ever used Google books should watch this
Very inspiring. I especially remember the amount of fluster in the monk's response when he was asked:” What if Google use all these books for commercial benefit?" He was clearly caught off guard by this question since commercial benefit was not something he would/should have concerned- I guess.
If you say well, making books accessible to everyone is such an honorable mission so what Google is making a fortune out of it? What if the data they collected could feed back to the advertising? To monopoly to certain out-of-printed books, thus certain knowledge? Or to the government? Not to mention Google's dodging all the questions by addressing a policy called Fair Use.
This documentary poses more question than it answers. And that's only reasonable. Living in the information age as we are, this kind of debate/lawsuit is only the beginning. At least it informs us: that's something we need to be thinking about instead of just trending with.
The most ambitious project ever conceived on the Internet: Google's master plan to scan every book in the world and the people trying to stop them. Google say they are building a library for mankind, but they also have other intentions.
The story of the most ambitious project ever conceived on the Internet, and the people who tried to stop it. In 1937 HG Wells predicted the creation of the "World Brain", a giant global library that contained all human knowledge which would lead to a new form of higher intelligence. Seventy year later the realization of that dream was underway, as Google scanned millions and millions of books for its Google Books website. But over half those books were still in copyright, and authors across the world launched a campaign to stop them, climaxing in a New York courtroom in 2011. A film about the dreams, dilemmas and dangers of the Internet, set in spectacular locations in China, USA, Europe and Latin America.Written by Polar Star Films
Scanning the world's books is just the tip of a double-edged sword representing the increasing domination power of Google and other Silicon Valley players. But copyright is copyright ... it takes precious time for an author or any creative artist to imagine a work, create it, edit it and copyright it. According to the movie, Google digitally hoovered up these books, did not ask proper copyright permission as presented by the writers' reps/library spokespersons featured in the movie, and avoided meting out due compensation to the copyright owners. If this is the case, why should Google pimp out the books for its own commercial purposes at some future time without proper compensation back to the content holders? Once you give up a data scan to another, you cannot put that genie back in the bottle.
One could see how smaller, niche collections might swallow the pitch on how Google's mother-of-all-xerox can enable whole world access to their tomes. And that's the dilemma -- access is a good thing, but at the expense of stiffing copyright owners. The unrealization of compensation for copyrighted material is one of publishing's most enduring plights.
The European response in the movie was pro-writers/copyright owners and ultimately against Google's questionable copyright actions. The Euro response seems to be the thoughtful and correct one; the Google opponents reacted to all the right issues -- compensation, copyright permission, what is fair use, and questioning giving blanket power to one organization.
Libraries can digitize their own collections and index/promote their abstracts to the internet. Each library can control its material, and writers have the right to get paid for use of their material.
This review is regarding this book-scanning project only, it is understood that many benefit from Google's other services. But the movie prompts taking sides. So much power cannot be given to one organization, especially now that we have seen it spread its tentacles outside of its core business search model, including building robot armies and controlling internet backbone. There will be no facet of life that Google does not have its hand in.
One could see how smaller, niche collections might swallow the pitch on how Google's mother-of-all-xerox can enable whole world access to their tomes. And that's the dilemma -- access is a good thing, but at the expense of stiffing copyright owners. The unrealization of compensation for copyrighted material is one of publishing's most enduring plights.
The European response in the movie was pro-writers/copyright owners and ultimately against Google's questionable copyright actions. The Euro response seems to be the thoughtful and correct one; the Google opponents reacted to all the right issues -- compensation, copyright permission, what is fair use, and questioning giving blanket power to one organization.
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This review is regarding this book-scanning project only, it is understood that many benefit from Google's other services. But the movie prompts taking sides. So much power cannot be given to one organization, especially now that we have seen it spread its tentacles outside of its core business search model, including building robot armies and controlling internet backbone. There will be no facet of life that Google does not have its hand in.